Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
23 février 2015 1 23 /02 /février /2015 15:13

Avec ce + 4 % en 2014, la masse salariale des "territoriaux" aura augmenté de 11 % en trois ans alors que l'inflation durant cette période n'aura été que de 3,4 % ! Dans le même temps, près de 100 000 fonctionnaires supplémentaires auront été recrutés,....

 

Une récente enquête, en date de novembre dernier, de la Fondation iFRAP, think tank dédié à l'analyse des politiques publiques, nous annonce un absentéisme moyen de 27,7 jours dans les vingt-deux conseils régionaux métropolitains.

 

Quant aux finances locales, un nouveau tsunami est annoncé dans les collectivités qui, imprudemment, auraient misé sur des emprunts indexés sur le franc suisse, leurs taux d'intérêt étant en train de flamber en raison de l'explosion de la monnaie helvétique.

Il y a des risques qu'on n'a pas le droit de prendre avec l'argent de ses concitoyens !

 

Au lieu de leur couper les vivres, on distribue des jetons à des irresponsables qui vont jouer à la roulette sans en connaître les risques. Résultat, les dettes des collectivités sont passées de 700 millions d'euros en 2011 à 9,2 milliards en 2013, soit treize fois plus en deux ans.

 

Partager cet article
Repost0
Published by voxpop - dans La France en résistance
22 février 2015 7 22 /02 /février /2015 23:26
Partager cet article
Repost0
Published by voxpop - dans La France en résistance
22 février 2015 7 22 /02 /février /2015 23:08
Partager cet article
Repost0
Published by voxpop - dans La France en résistance
22 février 2015 7 22 /02 /février /2015 23:00
Partager cet article
Repost0
Published by voxpop - dans La France en résistance
21 février 2015 6 21 /02 /février /2015 23:14
Le Figaro
« Les salafistes prônent un islam sans concession à l’Occident »

Jean-Marie Guénois

Bernard Godard a été pendant des décennies l’un des conseillers les plus écoutés - parce que l’un des meilleurs connaisseurs de l’islam français - d’une longue série de ministres de l’Intérieur. Il publie la semaine prochaine chez Fayard un remarquable ouvrage de référence : La Question musulmane en France.

LE FIGARO.- Dans votre livre, vous évoquez une rupture importante et récente dans l’islam de France qui explique le succès des salafistes ?

Bernard GODARD.- Le salafisme est en expansion régulière depuis les années 2000 au niveau européen, en France mais aussi au Maghreb. Le mouvement est arrivé ici via les salafistes algériens, mais on voit aujourd’hui un salafisme discret wahhabite s’implanter également dans les Yvelines autour de Mantes-la-Jolie par exemple. C’est le signe d’une rupture et d’une séduction chez les jeunes que l’on pourrait ainsi résumer. Si les années 2000 ont été marquées dans notre pays par l’impact des Frères musulmans, à travers l’UOIF (l’Union des organisations islamiques de France) et Tariq Ramadan, ce phénomène est en train de passer chez les jeunes.

Il y a une petite vingtaine d’années, l’idée était d’aider la jeune génération à s’intégrer en France en tant que citoyens musulmans. Il s’agissait de s’impliquer dans la société, de normaliser leur vie en tant que musulmans français, et non plus comme des immigrés à l’image de leurs parents.

Aujourd’hui, un autre courant dominant souffle surtout chez les jeunes, c’est le courant salafiste. Il s’implante en clamant un islam identitaire qui n’a plus besoin de faire d’effort pour s’intégrer ou pour s’adapter. Un bon salafiste prône donc en France un islam de rupture. Tariq Ramadan, lui, témoignait de façon positive : « Je suis fier d’être musulman, mais je témoigne dans le cadre de la laïcité, j’utilise le droit et je dis que je ne suis pas d’accord. » C’était un discours sophistiqué, alors que les salafistes se présentent avec un discours simple, de rupture. Ils lui répondent : « À quoi bon se casser la tête pour s’adapter, il faut être musulman. » Ils sont pour un islam sans concession à l’occident.

J’ajoute qu’un salafiste récuse toute appartenance à un parti ou à un mouvement comme les Frères musulmans. Pour lui, c’est la pire chose, car un salafiste ne compose pas : c’est l’homme musulman total qui compte. Et son destin est d’aller vivre dans un pays musulman.

C’est quoi, pratiquement, le salafisme ?

Le salafisme dont tout le monde parle sans le connaître est quiétiste. C’est-à-dire qu’il promeut un islam pur et dur, certes, mais non impliqué dans la sphère politique… Le salafiste quiétiste puriste considère qu’il ne peut composer avec l’Occident, ni discuter avec ceux qu’il considère comme des mécréants. Son idéal, s’il n’habite pas en terre d’islam, est même celui du retour, l’hijra, pour habiter dans un pays musulman ! Le salafiste quiétiste s’oppose donc nettement au djihadiste qui lui, place l’engagement et l’action violente au cœur de sa foi.

Ce refus d’implication dans la sphère politique va même jusqu’à provoquer une division au sein des salafistes quiétistes. Certains, les « inclusivistes  » considèrent que l’on peut discuter avec les pouvoirs locaux, ne serait-ce que pour obtenir une mosquée ou construire une école.

D’autres salafistes, les « exclusivistes » récusent ce type de compromis. Ils préfèrent créer leur sphère pour vivre un islam qui ne soit pas contaminé par l’Occident. Quant aux djihadistes, eux sont en dehors de tout cela.

Mais qui inspire la pensée des salafistes ?

Ce terme est devenu générique et désigne beaucoup plus qu’un axe dogmatique précis. Certes le salafisme a toujours existé. Il privilégie une interprétation stricte du Coran et des Hadiths, les écrits sur la vie du Prophète. Mais ceux qui se recommandent aujourd’hui du salafisme ne gardent de l’islam que l’histoire triomphante de ses deux premiers siècles et ils s’inspirent de deux figures marquantes : Ibn Taymiyya qui a vécu au XIIIe siècle et Mohammed Ibn Abdelwahhad au XVIIIe. Ce ne sont pas deux périodes neutres. Au XIIIe siècle, l’islam est envahi de partout. Ibn Taymiyya a une pensée religieuse très approfondie qui a été étudiée par les plus grands orientalistes, mais d’autres ne retiennent de lui que ce qu’il a écrit pour justifier la défense armée de l’islam dans une période où il était sous pression.

Abdelwahhad, pour sa part, développera trois siècles plus tard, la pureté du Coran, le recours à l’État islamique, aux vraies valeurs définies par les textes sacrés, à l’exclusion de tout ce qui s’est produit depuis plus d’un millénaire. Et c’est d’une violence terrible.

Les wahhabites sont aujourd’hui les disciples de Abdelwahhad. C’est leur référent principal. Il prône la destruction des idoles, le combat contre les polythéistes et contre les chiites.

Il faut bien réaliser que le salafisme est le corps doctrinal du régime saoudien et de tout ce qui est enseigné dans les universités de La Mecque. Par exemple, le Saoudien normal est persuadé qu’une femme doit rester chez elle. On continue à décapiter les gens. Il leur est impossible de se délester de ce corpus doctrinal.

Quelle est l’ampleur de l’implantation salafiste en France ?

Il existe une centaine de mosquées d’inspiration salafiste en France. Elles sont connues et surveillées. Mais il faut faire attention, car la plupart des groupes qui partent en Syrie ou ailleurs ne sont pas liés à ces mosquées. Il n’y a pas de liens avérés entre ces mosquées salafisantes et les djihadistes. Tous les radicaux trouvent l’une de leurs inspirations dans le salafisme, mais cela ne veut pas dire que le salafisme est la cause de leur radicalisme.

Pas de lien direct entre les salafistes et les djihadistes !

97 % des salafistes ne sont pas des djihadistes ! Les djihadistes qui passent à l’action sont ceux qui connaissent le moins le dogme salafiste. On s’en est rendu compte en prison : plus les salafistes étudient, moins ils sont dangereux, même si vous avez toujours des exceptions. Le salafisme, pour les djihadistes, est une matrice lointaine, presque accessoire. Ce qui motive celui qui devient un combattant est surtout le sentiment d’oppression contre les musulmans, la victimisation, le complot dont il se nourrit sur Internet jusqu’à décider de passer à l’action et de façon armée pour défendre les musulmans.

Daech prospère toutefois sur le terreau préparé par les salafistes…

Daech exploite cela en conseillant, en plus, de partir vers la terre musulmane, pour faire son hijra mais en vue de combattre. Avec une thématique eschatologique à la clé : c’est la hijra « au Cham », en Syrie, où se réglera la fin des temps et où l’islam triomphera. Il exploite là, mais dans un but guerrier, un thème eschatologique qu’utilisent également les « quiétistes ». Ce registre exerce une forte séduction sur les jeunes et a un impact terrible, car il y a un accomplissement dans ce départ et une reconquête de l’honneur perdu des musulmans que l’on ne trouve pas dans le wahhabisme ordinaire.

Est-il possible, en France, de limiter la progression du salafisme ?

Il y a une conscience très aiguë du côté des responsables musulmans du danger et de la nécessité d’intervenir. Je participe à des réunions de déradicalisation et je m’aperçois qu’il y a, chez les jeunes, un sentiment de victimisation très fort. Et c’est là qu’il faut travailler. « Le Prophète est insulté, pense-t-il, je me sens oppressé. » Le fait d’être identitaire, développe une essentialisation, qui finit par faire penser à celui qui est en prison qu’il est enfermé là à cause de l’islam…

Partager cet article
Repost0
Published by voxpop - dans La France en résistance
21 février 2015 6 21 /02 /février /2015 18:43
Partager cet article
Repost0
Published by voxpop - dans La France en résistance
21 février 2015 6 21 /02 /février /2015 18:19

Sur les photos circulant sur Twitter, le journaliste David Thomson, spécialisé sur les mouvements djihadistes, a repéré que certaines personnes présentes avaient l'index levé vers le ciel, symbole d'allégeance à l'Etat islamique.

Partager cet article
Repost0
Published by voxpop - dans La France en résistance
20 février 2015 5 20 /02 /février /2015 19:07
Partager cet article
Repost0
Published by voxpop - dans La France en résistance
18 février 2015 3 18 /02 /février /2015 23:24

LA  FRANCE  DE  MON  ENFANCE

 

« Adieu ma France... Tu n’es plus celle que j’ai connue, le pays du respect des valeurs, de l’hymne et du drapeau, le pays de la fierté d’être français. Adieu ma France des trafics en tous genres, du chômage, de l’islamisme, de la polygamie, du laxisme, de la permissivité, de la famille décomposée... Adieu ma France réduite à l’état d’urgence, ma France déconstruite, en guerre avec elle-même. Je veux, néanmoins, demeurer optimiste et croire en ton sursaut. Mais qui te sauvera ? » (Général Marcel Bigeard)

 

            Mon enfance durant, je fus fier de ma France… Il était, par delà la Méditerranée, ce pays chatoyant qui me faisait rêver entre deux pages de géographie… Elle était ma Mère Patrie et, à l’instar de mes camarades de jeux, des Mohamed et des Levy, je ne voyais, je ne sentais que ce qui était beau dans son passé et son présent… Je voyais en rêvant une histoire chargée de gloires, de saints, de rois, de héros, de batailles gagnées et de défaites toujours glorieuses, d’un Empire qui rayonnait par-delà les mers.

            « Là-bas », avec mes camarades du cours moyen, nous vibrions pendant les leçons d’histoire. Nous encouragions de la voix, des mains et des pieds Vercingétorix et Jeanne d’Arc à bouter l’envahisseur hors de France. Subjugués par l’héroïsme de Bayard –le « Chevalier sans peur et sans reproche »- et les victoires de Napoléon, nous suffoquions de plaisir au récit de la bataille d’Austerlitz mais nous refusions de lire celles de Waterloo et de la retraite de Russie. En somme, j’étais fier de ma France avec ce que cela comporte d’aveuglement et je l’aimais du plus profond de mon être.

            Chrétiens, Juifs et Arabes, tous unis dans une même communion de pensées, nous étions prêts à nous battre pour elle, à nous faire tuer, à tout quitter pour elle. Nous ne savions pas ce qu’elle était exactement ; qu’importait ! Elle était tout ce qu’elle était et nous en assumions les laideurs comme les beautés ; c’était une réalité, une réalité matérielle, charnelle, spirituelle, indissociablement. Certes, je discernais bien déjà ce qu’il y avait de laid dans son histoire : L’inquisition et ses tortures… Les guerres de religion… La folie sanguinaire des révolutionnaires de 1789 et ceux de la Commune de Paris de 1792, l’institution de la Terreur et de la déchristianisation… mais cela ne comptait pas pour moi. Un enfant ne s’amuse pas à faire l’inventaire des imperfections de sa mère, morales et physiques. Elle est sa mère et, comme telle, sans défauts. Les connaissant, il les ignore. C’est le mystère de l’amour.

            Mais le temps a passé depuis et mes souvenirs –comme ceux de mes camarades d’hier- sont ceux d’une splendeur à jamais révolue… Nous ne sommes plus ainsi, nous avons changé. Notre France ? Nous n’en sommes plus fiers et, bien souvent, nous en avons même honte…

            Il est difficile de ne vivre que d’espoir aussi bien que de souvenirs et de se réfugier dans les négations rectificatrices.

            Tout a débuté avec le désastre de 1940 et l’insignifiance médiatique de l’aide fournie par l’Armée d’Afrique pour la victoire finale. Puis il y eut la perte de l’Indochine, les désastres et les sacrifices d’une armée héroïque, l’abandon de nos Partisans, la trahison des communistes et leurs sabotages meurtriers. Il y eut aussi la mort de l’Algérie française, de celle de milliers de jeunes soldats, de milliers de Musulmans fidèles, de milliers de victimes innocentes offertes en holocauste pour satisfaire aux exigences d’une arithmétique de la terreur, des milliers d’arrestations arbitraires de patriotes français refusant d’abdiquer… et, au bout, l’exode et l’exil de tout un peuple.

            Nous sommes saouls de défaites, de reculs, d’abandons, de reniements, de capitulations : Nous sommes gorgés d’humiliations. Nous lâchons tout, nous abandonnons tout ce qui nous appartient… La France qui trahit, qui renie, qui abdique, qui brade, qui s’autoflagelle… La France qui renie son passé et ses valeurs chrétiennes.

Alors, pour ne plus avoir honte, pour ne plus pleurer lorsqu’un Diên-Biên-Phu tombe sous les orgues de Staline, pour ne plus pleurer nos soldats décharnés de retour des camps de la mort lente d’un Vietminh transposé en djihadistes, pour ne plus pleurer les gorges tranchées, les corps mutilés au couteau et ceux déchiquetés par les bombes d’un FLN réincarné en EI, pour ne plus pleurer l’attente inhumaine d’un « disparu », pour ne plus pleurer sur la route d’un exil, pour ne plus pleurer des détenus politiques fidèles à l’honneur, pour ne plus pleurer des soldats trahis, victimes de politiciens véreux, nous avons décidé de fermer notre cœur à l’amour. Nous avons assez souffert, nous avons assez eu peur, nous avons assez baissé les yeux devant nos « vainqueurs » d’hier pour ne pas avoir à nous incliner devant ceux de demain et revivre les affres de la trahison, du terrorisme et de la guerre civile.

Nous voyons que les idées généreuses favorisent la corruption, que la confiance que nous plaçons envers nos élus est bafouée, que la loi du plus fort est toujours la meilleure… Voici revenu le temps des imposteurs : Mensonges, tromperies incessantes, déclarations électorales jamais suivies d’effets, reniements, promesses non tenues… Dans les plis de leur écharpe tricolore, l’ambition, la vanité, l’orgueil, le profit, la bêtise. Scandales de tous les côtés, fripouilleries partout et à tous les niveaux de la hiérarchie… ce qui fit dire, déjà, à Montesquieu : « Tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser ».

Nous parle-t-on de Patrie ? Enseigne-t-on à nos écoliers ce qu’est la Patrie ? Ce qu’est la France ? Connaissent-ils seulement, ces écoliers, le premier couplet de La Marseillaise ?  Qu’est-ce que la Patrie ? Dites-le-nous donc, Messieurs ! Une histoire ? Vous en rejetez la plus grande partie et les livres de nos étudiants ne sont qu’un ramassis de contre-vérités. On connaît à ce sujet le terrible et célèbre mot de Joseph de Maistre : « L’Histoire, depuis trois cents ans, n’est qu’une conspiration contre la vérité ». Quel idéal êtes-vous donc capables de proposer à notre jeunesse ? Albert Einstein avait raison de dire que « ce n’est pas avec ceux qui ont créé les problèmes qu’il faut espérer les résoudre »

            Et vous, Giscard d'Estaing, (Mitterrand), Chirac, Sarkozy, Hollande, préoccupés comme vous l’êtes par votre maintien ou votre retour au pouvoir, qu’avez-vous fait de cette France que nous vous avons confiée ? Vous vous êtes comportés plus en « businessman » adeptes de « show-biz », qu’en chefs d’Etat ; vous avez institué le laxisme judiciaire, ouvert toutes grandes les vannes de l’immigration-invasion en prétendant que ce serait « une chance pour la France », la livrant ainsi aux hordes étrangères, aux voyous, aux islamistes, aux terroristes. Vous avez fait de nos banlieues où, jadis, il faisait bon vivre, des zones de non-droit où la terreur règne en maître, où la racaille manifeste ouvertement sa solidarité avec les terroristes islamistes.

            Vous nous avez tout enlevé, volonté, fierté, espoir, civisme, courage, patience, obéissance… Tout nous paraît vide. Nous n’avons plus en nous qu’une énorme lassitude et un extrême découragement. Dès lors, nous n’avons pas le droit d’aimer la chair de notre pays et nous ne voulons plus aimer son âme. Nous n’avons pas envie de mourir pour des idées suicidaires puisées dans les Ministères… donc nous n’avons plus envie de mourir pour la France sachant combien notre sacrifice sera vain.

Au fil des générations, flanqués des médias qui vous soutiennent, vous n’avez eu de cesse de cultiver le mythe de la culpabilité nationale : Colonisation… Repentance… Soumission… ignorant, comme le disait Charles Péguy, « qu’il y a des contritions plus sales que les péchés ». Vous avez fait en sorte, lors de vos gouvernances, que notre France s’accuse elle-même et se déclare honteuse de son passé guerrier, impérialiste et colonialiste… et, aujourd’hui,  elle n’est plus qu’une petite étoile dont le foyer s’est éteint progressivement. Ce qui subsiste encore à la place où elle éclairait n’est plus qu’un reflet dont nous pouvons désormais calculer la survivance…

Et nous souffrons de la voir ainsi… Méconnaissable, libanisée, colonisée, livrée à l’intégrisme religieux, décérébrée, sans mémoire, convulsée et congestionnée, gangrenée par les syndicats, les associations adeptes de la tartufferie des droits de l’homme et de l’antiracisme, minée par l’insécurité, les émeutes, les grèves et le chômage, résignée à la stagnation, au recul, à la déchéance et à la fin. Oui, ma France, qui te sauvera ?

 

                                                                                  José CASTANO

                                                                       Petit fils d’immigrés espagnols

 

« Quelle époque terrible que celle où des idiots dirigent des aveugles » (Shakespeare)
 

-o-o-o-o-o-o-o-o-

 

Voici ce qu’est devenue « la France de mon enfance ». Mais, « Chut ! » Pas de stigmatisation !... Pas d’amalgame !...

http://www.wat.tv/video/invasion-barbare-76mvj_2iiil_.html

 

Partager cet article
Repost0
Published by voxpop - dans La France en résistance
17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 18:53

Le point du journaliste italien Giulietto Chiesa sur la situation en Ukraine et les négociations officielles et en coulisses entre Moscou, Paris, Berlin et Kiev, le tout, pour la première fois, sans "l'aval de Washington". Sommes-nous à un tournant ?

Partager cet article
Repost0
Published by voxpop - dans La France en résistance

Bienvenue

  • : Le blog de voxpop
  • : Immigration en France : Etat des lieux, réflexion et charte de vote. La France en résistance
  • Contact

CHOISIR 

LA  FRANCE

 

RESISTANCE !

Capture-d-ecran--316-.png 

J'ai plus envie de me croire à Kaboul dans ma ville,

J'ai plus envie de l'incivisme, plus envie de la médiocrité comme religion, plus envie du manque d'ambition comme profession de foi.

J'ai plus envie de relativiser. >>>>