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18 mars 2013 1 18 /03 /mars /2013 17:48

 

 

Syrie : les méchants baassistes contre les méchants islamistes.

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Michel Garroté, réd en chef –- Nombre d’informations – sur la Syrie – véhiculées par les médias francophones sont fausses, car elles s’appuient exclusivement sur des médias musulmans impliqués dans la guerre de l’info, telle la télévision al Jazeera et autres médias financés par le Qatar et l’Arabie Saoudite, des puissances sunnites qui soutiennent les rebelles djihadistes en Syrie.

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La fin de la Chrétienté en Syrie

Depuis juillet 2012, les chrétiens syriens sont de plus en plus pris pour cibles, chassés de leurs maisons et de leurs quartiers, par les rebelles djihadistes. Quelque 138’000 chrétiens ont fuit Homs terrorisés après que leurs églises ont été pillées et occupées par les forces rebelles islamistes. Au moins 9’000 chrétiens ont fui la ville de d’al-Qusayr, à l’ouest et proche d’Homs après que les chefs d’une faction rebelle ont lancé un ultimatum qui a été répété depuis les minarets des mosquées.

Dans les zones contrôlées par les rebelles, la ligne dure du sunnisme fondamentaliste rend impossible la coexistence islamo-chrétienne. Pour les djihadistes, la neutralité n’est pas une option et les chrétiens qui refusent de soutenir le djihad sont torturés, expulsés et assassinés. Dans une fatwa, le religieux sunnite Adnan Arour a menacé ainsi : « Nous allons vous découper en morceaux et vous jeter à manger aux chiens ».

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18 mars 2013 1 18 /03 /mars /2013 17:28
Dans le Coran, l’amour du prochain n’existe pas, le mot amour est oublié
Classé dans: Islam |
 
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Par Alain Franquignon

Agrégé de lettres, j’ai réalisé une étude sur les occurrences de mots dans le Coran. C’est un livre très clair… (mais là je vous livre en partie mes conclusions)

Le Coran, un livre ennuyeux et méchant.

C’est un livre de combat, de guerre, et quelle caution, quelle cause serait plus digne d’être défendue que celle de son Dieu.

Je me suis demandé très tôt dans la lecture des « paroles du prophète » pourquoi ce livre n’était pas interdit au même titre que Mein Kampf de Hitler … Il n’en diffère guère que par le préchi-prêcha insipide qui enveloppe ses agressions verbales incessantes.

C’est probablement le plus mauvais livre que j’aie jamais lu, mauvais dans les deux sens du terme : ennuyeux et méchant.

Ennuyeux à cause des reprises incessantes des mêmes idées, répétées ad nauseam tout au long de toutes les sourates, sans exception, et méchant parce qu’il se dégage de cette lecture l’impression que l’homme qui a écrit ce livre n’était pas « bon », mais « méchant ». C’est du moins MA lecture du Coran.

Cette méchanceté se traduit le plus souvent sous la forme de la MENACE

Le Coran est un livre menaçant, et comme il vous menace, vous, pauvre lecteur, vous devez, pour vous affranchir de cette menace, devenir le sujet et non plus l’objet de la menace, et faire vôtre la parole menaçante, la reprendre à votre compte pour être du côté du menaçant, et non plus du menacé.

Mais c’est une conversion incomplète : en lisant le Coran, on est toujours sous la menace en même temps qu’on y met autrui. C’est pourquoi le Coran est un livre violent dans son essence même. L’auteur exerce une violence verbale continue (voire l’occurrence des mots) tout au long de chacune des sourates. Il nous apparaît comme un être épris de pouvoir, voulant à tout prix régner sur les autres, les dominer, les écraser, les châtier et les éliminer si besoin …

Extrême pauvreté du message

Par ailleurs, ce qui m’a frappé en lisant le Coran, c’est l’extrême pauvreté du message, pauvreté qui s’exprime par la répétition incessante de la même idée de soumission à Dieu, mais aussi par l’absence complète de deux choses fondamentales pour une religion : une morale universelle et une cosmologie.

  • Une morale universelle fondée sur la notion de Bien et du Mal qui seraient au-delà de l’islam lui-même et qui vaudrait pour tous les hommes (comme condamner le meurtre, le mensonge, le vol, le viol, parce qu’ils sont le Mal en soi). Or ces mauvaises actions ne sont pas du tout condamnées lorsqu’elles s’exercent sur l’autre, le non-musulman.
  • 
  • Une cosmologie. Pas de création du monde ni d’explication (mythologique bien sûr) sur la nature des choses, ni sur l’origine de la différence entre l’homme et la femme.
  • Pas d’éloge du travail ni de l’enrichissement par la multiplication des troupeaux ou par la culture des champs (comme on en trouve dans la bible, et dans l’antiquité grecque avec « les travaux et le jours » d’Hésiode », ou dans l’antiquité romaine avec les « Géorgiques » de Virgile). Par contre une Sourate sous-titrée « Le Butin ».
  • Ainsi le mot « travail » et ses dérivés n’apparaît qu’une demi-douzaine de fois, et toujours associé à l’idée que de pauvres gens (ou des esclaves) y sont contraints pour survivre

Les occurrences de mots sont-elles révélatrices, mais l’absence d’occurrence de mots l’est aussi.

La traduction du Coran disponible sur internet, et approuvée par la grande mosquée de Paris comporte 86721 mots.

Sur ce total, nous avons écartés tous les petits mots « outils » comme les articles, les prépositions, les verbes être et avoir, les pronoms, les conjonctions, etc. Ces mots outils forment un total de 28519 mots. Nous n’avons donc gardés comme mots signifiants que les noms, les verbes, les adjectifs et les adverbes significatifs. Au total 58562 mots « signifiants » qui transmettent le message du Coran.

Nous nous sommes donc attachés au domaine particulier qui concerne directement Allah et l’obéissance à ses commandements, domaine que l’on peut diviser en 4 sous-domaines :

  • Vérité/mensonge (vraie religion, mensonges des autres religions, croyances, incroyance, etc …) : 2858 mots
  • Récompense/punition (Allah doit être craint car il récompense les croyants, et punit les non-croyants) : 2721 mots
  • Obéissance (avertissements, interdictions, prosternation, autorités …) : 918 mots
  • Dieu (prophète, fidèles, infidèles, saints, menteurs, mécréants …) : 5800 mots

Total de cet ensemble : 12297 mots, sur 58562, …. Soit 21% des mots du Coran.

Et sur les 58562 mots, le mot « amour » n’apparaît que 10 fois, et encore :

  • 3 fois pour parler de l’amour d’Allah pour ses fidèles,
  • 2 fois s’agissant de l’amour des fidèles pour Allah,
  • 4 fois pour parler de l’amour des richesses,
  • mais une seule fois pour désigner l’amour d’une femme pour un homme,
  • et jamais pour évoquer de l’amour de l’homme envers son prochain.
  • Le mot « aimer », conjugué, apparaît 53 fois, presque exclusivement pour dire qu’Allah aime les croyants, les justes, les fidèles, les pieux, ceux qui lui font confiance.
  • Sinon il est employé dans le sens de « souhaiter » ou « apprécier » : ex: « …les Juifs qui aiment bien écouter le mensonge » (S 5, V 41), « les mécréants aimeraient vous voir négliger vos armes … » (S 5, V 102) etc.

Voilà le score accablant du Coran : nous asséner, ad nauseam, que nous devons obéir à Dieu, être de vrais croyants, nous tenir loin du mensonge des autres religions, sous peine de « châtiment douloureux ».

Un cinquième des mots d’un livre de 1000 pages répètent sans cesse cette même idée.

Pourquoi une telle répétition ? A-t-on besoin d’être autant averti, menacé ? Ne s’agirait-il pas de la déclinaison d’un slogan ? Pour le Coran, ça serait « si on vous menace régulièrement, vous finirez par y croire ». La répétition tient lieu d’argumentation.

Le Coran n’explique pas, il affirme.

L’essentiel de son message est de faire peser sur vous la domination de Dieu, un Dieu que vous devez craindre et faire craindre. Mais son châtiment est pour les vivants, dans ce monde. L’homme de guerre Mahomet reste un homme de guerre …

Il y a bien sûr mille autres choses à dire sur le Coran, comme par exemple la légende de Joseph et de ses frères, si bien racontée dans la Bible, et qui devient un charabia incompréhensible dans le Coran, mais nous avons voulu mettre l’accent sur quelque chose que je n’avais pas entendu ni lu (même dans le livre d’Ibn Warraq) : sa dimension ennuyeuse et menaçante, qui vont de pair.

P.S. : Avec plusieurs amis, qui n’avaient pas lu le Coran, j’ai parié qu’ils pouvaient ouvrir 3 fois le Coran à n’importe quelle page (version papier), et qu’on y trouve au moins une fois sur la page de gauche ou sur celle de droite une variante de la phrase suivante « Dieu le miséricordieux vous réserve un châtiment douloureux si vous n’obéissez pas à ses commandements » …. J’ai toujours gagné.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Alain Franquignon pour www.Dreuz.info

 


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Published by voxpop - dans Islam
7 mars 2012 3 07 /03 /mars /2012 22:34

image-halal.jpg

 

 

Chaque année, on tue dans notre pays 1 milliard de poulets et de lapins, 25 millions de porcs, plus de 6 millions de bovins, ou encore 4 millions de moutons. Un rapport confidentiel que Le Point s'est procuré jette une lumière crue sur l'abattage rituel tel qu'il est pratiqué en France. Remis aux autorités en novembre 2011, le document, rédigé par dix experts et hauts fonctionnaires duministère de l'Agriculture, a été soigneusement enterré. Il est vrai que cet audit de 54 pages émanant du Conseil général de l'alimentation contient une vérité qui n'est pas bonne à dire : les Français ont progressivement, et sans le savoir, été mis au régime halal. 

Aujourd'hui, comme l'indique le rapport, plus de la moitié des bovins, ovins et caprins tués en France le sont suivant un mode d'abattage "rituel", halal ou casher. Ce qui signifie que les animaux sont saignés alors qu'ils sont encore conscients. Au-delà de la souffrance animale, l'abattage rituel pose parfois aussi un problème d'hygiène, avec à la clé un danger de contamination par Escherichia coli...

S'agissant du débat plus large sur la traçabilité de la viande et de son étiquetage, le président du CFCM a indiqué avoir dit au Premier ministre que les musulmans n'étaient «pas contre le droit du consommateur à être bien informé». «Simplement le débat il est ailleurs: quel type d'information devons-nous donner aux consommateurs? Il ne faudrait pas que cette information soit stigmatisante pour les musulmans de France», a-t-il expliqué.

Cette préoccupation est sans fondememnt, entachée de mauvaise foi. Il y a bien longtemps que dans les grandes surfaces les gandoles HALAL sont largement signalées, que les produits qu'elles rassemblent sont clairement identifiés comme Halal, alors pourquoi la viande Halal proposée aux consommateurs ( tous ) ne serait-elle pas signalée comme telle ?


 la France est laïque et chacun doit pouvoir pratiquer sa religion comme il l’entend à condition de ne pas imposer ses rites à d’autres. 

 

Les Juifs et les musulmans doivent pouvoir vivre leur religion comme ils l’entendent, c’est leur droit le plus strict. Mais pourquoi faudrait-il que je consomme les restes d’animaux  abattus selon le rituel musulman ou juif,  sans étourdissement ?  C’ est aussi mon droit le plus strict de refuser qu’il me soit imposé  de consommer de la viande d’animaux abattus selon un rituel religieux qui n’est pas le mien, plus douloureux pour les animaux et qui n’est pas exempt de risques sanitaires. ? L'étiquetage des viandes en fonction de la méthode d'abattage doit être mis en place. Il faut arrêter de faire souffrir outre mesure les animaux. Je ne doute pas que juifs et musulmans partagent  mon point de vue. Travaillons rapidement ensemble à préserver l’équité pour tous en ce domaine, le respect des croyances, des principes.

 

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Published by voxpop - dans Islam
26 février 2012 7 26 /02 /février /2012 17:16
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25 février 2012 6 25 /02 /février /2012 21:20

Un reportage sur l'islamisation de l'Espagne où l'immigration massive des musulmans va transformer le pays.  Dans certaines villes, les musulmans représentent déjà 40% de la population et sont sur le point de prendre le contrôle politique.


 

Espagne.jpg

 

 

 

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13 février 2012 1 13 /02 /février /2012 14:00

 

Claude Guéant

 

..toutes les civilisations ne se valent pas. Celles qui défendent l’humanité nous paraissent plus avancées que celles qui la nient. Celles qui défendent la liberté, l’égalité et la fraternité nous paraissent supérieures à celles qui acceptent la tyrannie, la minorité des femmes, la haine sociale ou ethnique.

 

 

En tout état de cause, nous devons protéger notre civilisation."

 

 

 


"Le Nouvel Observateur" de nouveau censuré au Maroc

http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20120203.OBS0564/le-nouvel-observateur-de-nouveau-censure-au-maroc.html

 

 


13 févr. 2012Le Figaro DELPHINE MINOUI CORRESPONDANTE AU MOYEN-ORIENT


Accusé d’« apostasie », Hamza Kashgari a été arrêté à Kuala Lumpur avec l’aide d’interpol puis extradé vers Riyad.


Un cheikh fondamentaliste appelle à l’exécution du blasphémateur


ARABIE SAOUDITE


La mort pour une petite centaine de caractères : c’est ce que risque le journaliste saoudien Hamza Kashgari après avoir osé publier sur son compte Twitter des messages contestataires à l’attention du prophète Mahomet. La Malaisie, où le jeune homme de 23 ans s’était enfui jeudi, a décidé de le renvoyer dimanche dans son pays, après l’avoir arrêté à sa descente de l’avion à l’aéroport international de Kuala Lumpur. Selon Ramli Yoosuf, le porte-parole de la police malaisienne, cité par plusieurs agences de presse, il a dû rembarquer sur un vol pour Riyad après avoir été remis aux autorités saoudiennes. « Nous craignons qu’il n’ait pas de procès équitable et qu’il encoure la peine capitale s’il est jugé pour apostasie » , a réagi son avocat, Muhammad Afiq Mohamad Nour. L’affaire remonte au 4 février dernier, date anniversaire de la naissance de Mahomet. Collaborateur à un journal local de Djedda, dans l’ouest de l’arabie saoudite, Hamza Kashgari est, comme des milliers de jeunes Saoudiens de son âge, accro à Internet et dispose de son propre compte Twitter (@Hmzmz). Ce jour-là, il décide de s’adresser au prophète. « Le jour de ton anniversaire, je te trouve où que je me tourne. J’ai aimé certaines choses en toi mais j’en ai abandonné d’autres, et je n’ai pas compris beaucoup de choses à ton sujet » , écrit-il. Au royaume wahhabite qui prône un islam rigoriste, son audace suscite rapidement une avalanche de réactions. Le ministre de l’information lui interdit, via Twitter, de poursuivre ses activités journalistiques. Dans une intervention télévisée, le cheikh fondamentaliste Nasser alOmar dénonce, en larmes, « l’outrageuse insulte publique » et appelle à l’exécution dudit blasphémateur. Pour le comité des fatwas (édits religieux qui se basent sur la charia, la loi islamique), les écrits du journaliste constituent une « apostasie » , un crime passible de la peine de mort. Placé en détention Pris au dépourvu, Hamza Kashgari s’excuse et supprime ses messages. Mais aux yeux des fanatiques, le mal est déjà fait. Tandis que son compte Twitter est désactivé, les menaces continuent à pleuvoir de toute part. Traqué comme un criminel, il finit par mettre le cap pour la Malaisie. Mais son voyage est rapidement écourté. Sous le coup d’un mandat d’arrêt émis par Interpol, à la demande des autorités saoudiennes, il est immédiatement placé en détention après avoir posé les pieds sur le tarmac de l’aéroport de Kuala Lumpur. Quelques jours plus tard, il est finalement extradé. « Compte tenu des risques encourus, il est inacceptable de voir la Malaisie et une organisation telle qu’interpol coopérer avec l’arabie saoudite » , déplore Hassiba Hadj Sahraoui, la directrice adjointe d’amnesty International pour le Moyen-orient et l’afrique du Nord, en précisant que la Malaisie, qui ne dispose pas de traité d’extradition officiel, aurait dû offrir l’asile à Hamza. « Ce journaliste n’a fait qu’exercer son droit à la liberté d’expression. Or, compte tenu de l’archaïsme de l’appareil judiciaire saoudien, il y a aujourd’hui tout à craindre pour sa sécurité », s’inquiète-t-elle.

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4 décembre 2011 7 04 /12 /décembre /2011 22:33

« Les islamistes modérés ». C’est ainsi que les médias internationaux, particulièrement français, désignent régulièrement Ennahda et le Parti Justice et Développement, respectivement vainqueurs des élections législatives Tunisiennes et Marocaines. Dans une interview accordée au Parisien, Jeannette Bougrab, secrétaire d’Etat à la Jeunesse juge « inquiétant » la venue au pouvoir de ces islamistes. Elle s’insurge également contre le terme même d’ « islamisme modéré » qu’elle qualifie d’inapproprié puisqu’il n’existe pas de « charia light ».

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eannette Bougrab, Secrétaire d'Etat à la Jeunesse en France

Aux journalistes du quotidien français le Parisien venus recueillir ses impressions par rapport aux résultats des scrutins législatifs en Tunisie et au Maroc, Jeannette Bougrab a répondu qu’elle ne « soutiendrait jamais un parti islamiste… Jamais ». La ministre UMP s’est démarquée de la position officielle de la France, laquelle a félicité les dirigeants d’Ennahda en Tunisie et du PJD au Maroc. Jeannette Bougrab affiche ainsi clairement son opposition aux nouveaux gouvernements « islamistes ».

La ministre a précisé qu’elle réagissait en tant que citoyenne et femme française d’origine arabe. Née en France d'un père ouvrier et harki, Jeannette Bougrab âgée de 38 ans a mené une brillante carrière de juriste avant de s’engager en politique à l'UMP sous la présidence d'Alain Juppé. Décrite dans les médias comme proche de celui-ci, c’est en 2010 qu’elle est nommée secrétaire d'État à la Jeunesse et à la vie associative. Elle est rappelée à l’ordre en Janvier 2011, par le Premier ministre François Fillon après avoir tenu des propos selon lesquels Hosni Moubarak, ancien président devait quitter le pouvoir en Egypte.

Islam ou rien… Charia ou pas Charia

Pour cette ancienne présidente de la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (HALDE), la notion même d'islamisme modéré est à rejeter. D’après son point de vue rapporté par les journalistes du Parisien, « une société régie par la charia, la loi canonique coranique implique nécessairement une restriction des droits et libertés ». « Toutes les interprétations théologiques, littérales ou fondamentales peuvent être faites », il n’empêche que le droit fondé sur la charia est nécessairement une restriction des libertés, notamment de la liberté de conscience ».

La ministre se revendique de droite et se dit partisane du Gaullisme social. Elle est en outre favorable au mariage homosexuel et voit dans l’apostasie interdite en Islam de même que le voile, des restrictions certaines des droits et libertés fondamentales pour une démocratie qui se respecte. Charia et état de droit sont-ils incompatibles ? Jeannette Bougrab répond par l’affirmative.


 

D'autres femmes s'insurgent !

 


« L’islam ne connaît aucune individualité, sa vision de l’humanité n’est pas adaptée à la modernité »

« La charia ne repose sur aucun des principes légaux issus des Lumières. Sans rejet de la charia et du principe de vengeance, tous les efforts pour intégrer les musulmans sont condamnés d’avance. »

 

Necla Kelek est une sociologue allemande d’origine turque, née à Istanbul en 1957.

 



 «Il n’y a pas de cohabitation possible entre l’islam et l’Occident».

 

«Le multiculturalisme est une théorie inconsistante»

«Le Prophète a demandé la main d’une petite fille de 6 ans et le mariage a été consommé quand elle a eu 9 ans. C’est ce qu’on appelle un pédophile.»                                       

«L’Occident a essayé différentes manières de convertir, assimiler et séduire les Musulmans vers la modernité. Aucune de ces approches n’a réussi. Pendant ce temps, notre vénération pour la raison fait de nous des proies faciles pour un prédateur sans pitié, malhonnête et extrêmement agressif.»

Ayaan Hirsi Ali Née en Somalie en 1969 Réfugiée aux Pays-Bas, elle adopte les valeurs libérales occidentales au point de devenir une jeune députée à La Haye et de s’affirmer athée.

 


   « L’Occident doit cesser de se laisser endormir par l’idée du multiculturalisme.»

 

« Je ne ferai jamais le pèlerinage à La Mecque car on y interdit l’entrée aux juifs et aux chrétiens »

 

Née en Ouganda en 1968, au sein d’une famille musulmane, Irshad Manji est une écrivaine et journaliste canadienne.

 


 

 « Il n’y a rien à garder du coran »

 

« L’islam est une torture contre les femmes »

« Les médias occidentaux et les intellectuels font preuve de lâcheté concernant l’islam et ses dogmes »

 Taslima Nasreen  est une écrivain née en 1962 dans une famille musulmane de Mymensingh, au Bangladesh. Elle a d’abord été gynécologue avant de se consacrer définitivement à l’écriture.

 


 

 

 « Je connais l’Islam et pour moi cela signifie la mort et la douleur  L’islam, fondamentalement, méprise l’être humain et la femme. »

 Née en Iran en 1956, Mina Ahadi se voit exclue de l’université de Téhéran où elle étudiait la médecine aux premiers jours de la révolution islamique, parce qu’elle refuse de porter le tchador.

 

 


 

    « J’ai vécu le totalitarisme islamique et les barbaries religieuses sous tous leurs aspects.

Où sont ces intellectuels de salon complices de la barbarie islamique quand, en France, on force des fillettes à se murer dans une prison portative ?

Voiler les femmes, c’est diffuser la vision du monde islamiste »

 Née en 1967 en Iran, Chahdortt Djavann grandit à Téhéran. En 2002, elle publie son premier roman, ‘Je viens d’ailleurs’ et raconte comment   elle a gardé la tête haute.

 


 


« Je ne crois pas que l’islam puisse être réformé »

« Les musulmans doivent se demander ce qu’ils peuvent faire pour l’humanité, avant d’exiger que l’humanité les respecte »

 « Je n’ai aucun espoir en l’islam. Quand une idée est corrompue, on ne peut la réformer »

 Wafa Sultan a grandi en Syrie dans une famille musulmane. Sa vie bascule en 1979 : alors étudiante en médecine, elle assiste à l’université à l’assassinat de son professeur par des membres des Frère Musulmans.

 


 


« De nombreux Musulmans ne cherchent qu’une chose, islamiser l’Amérique et l’Occident, coûte que coûte ! »

« Je crois que le monde musulman a perdu son équilibre moral »

« Les appels à la prière étaient presque toujours suivis d’appels à détruire les juifs et les infidèles »

 

Arabe et musulmane, Nonie Darwish est née au Caire. Expatriée aux Etats Unis, elle est aujourd’hui journaliste, écrivain, et fondatrice de ArabsForIsrael.com.

 


 

« Qu’il existe des filles dans ce pays qui vivent sous des règles datant de mille ans est une question qu’il faut aborder. »

 

Née en 1969 au Burundi, Nyamko Sabuni arrive en Suède en 1981. Elle est élue députée au Riksdag en 2002. En 2006, elle est nommée ministre de l’Égalité, de l’Intégration, de la Démocratie. Elle a déjà dit souhaiter devenir Premier ministre. Elle est la première personnalité noire à accéder à un poste d’une telle importance dans ce pay



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18 octobre 2011 2 18 /10 /octobre /2011 22:22

charia-jpeg.jpg

 

La charia , c’est quoi au juste ??

J’invite ardemment chacune et chacun d’entre vous à prendre le temps de visualiser cette conférence particulièrement édifiante d’Alain Wagner sur le thème de la charia.

Les vidéos proposées ensuite , sont autant d’exemples terrifiants en relation avec la charia.

Lundi 10 octobre 2011

 

Les écoles coraniques en Grande Bretagne

L’enseignement de la charia en Grande Bretagne est une réalité que démontre ce reportage :

http://www.youtube.com/watch?v=2ms1AcnQg40

L’éradication des dernières communautés chrétiennes du Moyen-Orient se poursuit, dans le silence complice de l’Occident.

En Egypte, l'épuration éthnique des Coptes reprend là où on en était resté. Près de 4000 musulmans ont attaqué des maisons coptes hier soir dans le village de Soul, Atfif, dans le gouvernorat d'Helwan, à 30 kilomètres du Caire, et ont incendié l'église de Sainte-Mina et Saint-Georges……les émeutiers musulmans scandaient «Allahu Akbar» et ils ont juré de célébrer leurs prières du matin sur le terrain de l'église après l'avoir rasée.

http://www.youtube.com/watch?v=rkWckV4xZXs&feature=related



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Published by voxpop - dans Islam
4 avril 2011 1 04 /04 /avril /2011 22:52

>>>   Conclusion

 

>>    N’ayons pas peur des mots. C’est bien un terrorisme intellectuel, une islamisation des esprits qu’il nous faut subir, insidieusement, mais surement, chaque jour, pour satisfaire aux exigences des musulmans de France ! Impossible d’oublier l’Islam, le  matraquage religieux est constant, dans l’espace et le temps  L’islam est dans la rue, par ses tenues vestimentaires, son voile identitaire, ses prières, ses rassemblements à la mosquée. Il exacerbe notre vie professionnelle par ses revendications sectaires toujours plus contraignantes. Mais c’est aussi  une véritable hégémonie alimentaire qui sévit dans notre pays ; le Halal est dans nos assiettes à notre insu, irrite, complique chacun de nos repas pris à la cantine, au restaurant, l’Islam nous taxe de façon indolore pour alimenter ses caisses accroître encore sa prédominance. En regard de cette hégémonie alimentaire nos revendications porteront d’une part sur l’abattage rituel des animaux et la commercialisation de la viande, d’autre part sur les contraintes sectaires, intolérantes imposées dans les cantines et restaurants au sein des services publics et de l’entreprise. La liberté individuelle consiste à avoir le droit de refuser de subir l’ensemble des coutumes et pratiques rituelles d’un culte.

>>>   rappelons les faits, voir l’islam en France,

Plus particulièrement le chapitre sur les cantines scolaires et l’article sur la viande halal

 

L’abattage rituel est archaïque, barbare, il est une régression en regard de nos valeurs, de la souffrance imposée aux animaux. Il faudra bien reposer le problème sur la table, dans l’immédiat il faut  imposer le fait d’interrompre avec certitude la vie et donc la souffrance de l’animal après lui avoir tranché la gorge.

Il est fort de café d’apprendre que certains morceaux seulement de l’animal sont affectés à la consommation des musulmans et que tous les autres sont commercialisés auprès des non-musulmans, vous et moi, sans indication du fait que cette viande est issue d’un abattage rituel avec des pratiques et conformément à une foi qui n’est pas la notre, la votre. Nous obligeant de plus, à financer le culte musulman en versant une taxe à l’organisme de certification !!!!!

Il est hors de question que l’abattage rituel se généralise.

Il est impératif que les détaillants soient parfaitement informés de la nature de l’abattage et puisse en justifier à la demande des consommateurs.

Il est impératif que la viande halal sous emballage et les produits dérivés soient parfaitement identifiables par simple lecture de l’étiquette apposée sur l’emballage.

 Le même principe devra s’appliquer sur tous les produits réputés halal. Nous ne souhaitons en aucune façon financer le culte musulman à notre corps défendant.

 Pour ce qui est de la restauration à l’école, dans tous les services publics et les entreprises privée, il est grand temps d’arrêter l’escalade des revendications, de redescendre sur terre. Finies les demandes de nourriture confessionnelle, les demandeurs devront s’accommoder d’un plat végétarien unique, systématiquement proposé.

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Published by voxpop - dans Islam
3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 23:50

Immigration : quand la droite  défendait la France et les Français

 

“Valeurs actuelles” a retrouvé les propositions chocs des états généraux de l’opposition RPR-UDF sur l’immigration. Pour la plupart “oubliées”.

« La France ne peut plus être un pays d’immigration », elle «n’est pas en mesure d’accueillir de nouveaux immigrants »… Voilà, entre autres, ce à quoi s’engageaient la droite et le centre, en cas de retour au pouvoir, à l’occasion de ses “états généraux de l’opposition” (RPR et UDF, transformés en UMP) consacrés à l’immigration, des 31 mars et 1er avril 1990 à Villepinte.

Parmi les participants : Valéry Giscard d’Estaing, Jacques Chirac, Michèle Alliot-Marie, Roselyne Bachelot, Alain Juppé, Gérard Longuet, mais aussi… François Bayrou. Co­responsable, au nom du RPR, de cette convention, c’est Nicolas Sarkozy lui-même qui a cosigné (avec Alain Ma­delin) la préface du compte rendu de 39 pages publié à cette occasion.

Affirmant que « la France ne doit pas être considérée comme un simple espace géographique sur lequel plusieurs civilisations pourraient coexister » et dénonçant le « faux antiracisme militant », ce qui est depuis devenu l’UMP en appelait alors clairement à « la fermeture des frontières » et à la « suspension de l’immigration ». Loin, très loin, du “contrôle régulé” et de “l’immigration choisie” aujourd’hui défendus…

Pas question non plus de « régularisation au cas par cas » pour les « clandestins » (on ne parlait pas alors de “sans-papiers”). Seule solution envisagée : une politique assumée d’expulsions : « On ne peut tolérer que des clandestins puissent rester en France. […] Il faut tout mettre en œuvre pour que les décisions de reconduite à la frontière soient effectives. » Vingt ans après, en 2010, Éric Besson, alors ministre de l’Immigration, reconnaissait pourtant que près de 80 % d’entre elles n’étaient pas exécutés

Expulsables, aussi, pour la droite des années 1990, les “faux réfugiés” : « La très grande majorité des dossiers déposés à l’Ofpra [Office français de protection des réfugiés et apatrides, NDLR] s’avère injustifiée (de l’ordre de 90 %), ces demandes n’étant qu’un prétexte pour bénéficier des avantages sociaux français. » Même les étudiants étrangers ne sont pas épargnés : « Il faut conditionner le séjour des étudiants étrangers en France à un déroulement normal du cursus universitaire : le titre de séjour doit être renouvelé annuellement en tenant compte des résultats obtenus » – une proposition jamais mise en pra­tique.

Également dans le collimateur : « Le regroupement familial, [qui] pose par son ampleur des problèmes très réels de logement, de scolarisation  et d’encadrement so­cial. » Proposition alors « lar­gement ap­prouvée » par l’ensemble de la droite et du centre : « Corriger l’automaticité du regroupement familial et la réserver aux immigrés titulaires d’une carte de long sé­jour (10 ans) » ce qui, là encore, n’est toujours pas le cas.

Afin de ne plus attirer de nouveaux immigrés, la droite n’hésitait pas non plus à briser le “tabou” de « notre système de protection sociale », dont il faut « éliminer les points faibles qui créent une incitation artificielle à l’immigration ». C’est ainsi, notamment, que doivent être « vigoureusement combattus […] l’accès aux soins médicaux et hospitaliers par des étrangers en situation irrégulière » – qui envisage aujourd’hui la suppression de la CMU ? Quant à « l’immigré chô­meur, [il] percevrait alors non des allo­cations chômage mais une allocation pour le retour sous forme de capital ou de rente ».

Flirtant avec la “préférence nationale” prônée par le FN, la droite allait jusqu’à s’interroger « s’il ne convient pas de réserver certaines prestations sociales aux nationaux » : « Dans ce domaine, rap­pelle-t-elle, le législateur a admis dans le passé le bénéfice des prestations aux seuls nationaux […] : être étranger en France, ce n’est pas avoir automatiquement et intégralement tous les droits liés à la citoyenneté française. »

“Ce n’est pas aux pouvoirs publics d’organiser l’islam”

N’hésitant pas à pointer « 
la fécondité des étrangères très supérieure à celle des Françaises (3,2 enfants contre 1,84) et spécialement celle des Maghrébines (entre 4 et 5 enfants) », la droite d’il y a vingt et un ans estimait que « l’automatisme actuel d’acquisition de la natio-nalité pour les jeunes nés en France de parents étrangers n’est pas bon » : « la nationalité doit être demandée par le jeune étranger : elle n’est plus accordée automatiquement » – en 2011, la nationalité française (et l’impossibilité d’être expulsé) est pourtant toujours attribuée d’office entre 16 et 18 ans à tout enfant d’étrangers né sur le sol français.

Particulièrement sévère dans le ta­bleau qu’il dresse des banlieues, où « la lutte des races[sic] remplacerait maintenant bien souvent la lutte des classes », le document de ces états généraux pro­pose de lutter contre la « concentration des populations immigrées » par la mise en place de quotas – mais sans utiliser le mot : « Les élus peuvent intervenir efficacement [et] les collectivités locales […] doivent avoir leur mot à dire quant au nombre d’immigrés qu’elles accueillent sur leur territoire », afin de « tenir compte du seuil de tolérance qui existe dans chaque immeuble ». On imagine les réactions, y compris en son sein, si la droite évoquait aujourd’hui ces mêmes “seuils de tolérance”…

Tout aussi décomplexée promettait d’être la droite concernant l’école, où « l’importance numérique des enfants d’immigrés est trop forte dans certains secteurs géographiques » : « L’école, avançait-elle, n’est pas un lieu d’expression multiculturelle. » Alors que Jean-François Copé proposait, à la fin 2010, des « cours d’ara­be », et Fabienne Keller l’introduction de « cours sur l’histoire de l’Afrique », la droite d’alors était sur une ligne 100 % in­verse : « Les cours de “langues et cultures des pays d’origine” doivent être facultatifs et déplacés en dehors des horaires scolaires. »

Concernant l’islam, nul besoin à l’époque de “débat”, comme l’UMP va en organiser le 5 avril (contre l’avis des centristes), pour assumer que « l’islam n’apparaît pas conforme à nos fondements sociaux et semble incompatible avec le droit français » : « Il y a bien incompatibilité entre l’islam et nos lois. » Les choses, il y a vingt ans, étaient on ne peut plus claires : « C’est à l’islam et à lui seul de [s’adapter] afin d’être compatible avec nos règles. »

Aux antipodes de la voie suivie en 2007 avec la création du Conseil français du culte musulman (CFCM), la droite affirmait en 1990 que « ce n’est pas aux pouvoirs publics d’organiser l’islam ». « On n’intègre pas des communautés mais des individus », estimait-elle : « Il convient de s’opposer […] à toute tentative communautaire qui viserait à instaurer sur le sol français des statuts personnels propres à certaines communautés. »

Pas question, non plus, d’associations musulmanes – permettant aujourd’hui de financer les mosquées : « Les activités cultuelles doivent être exclues de la compétence des associations relevant de la loi de 1901. » Et d’ajouter que « la mainmise de l’étranger sur certaines de ces associations est tout à fait inacceptable », au point de proposer d’« abroger les dispositions socialistes de 1982 supprimant l’autorisation préalable pour les associations étrangères » qui ne l’ont jamais été. Enfin, « la création de lieux de culte doit se faire dans le respect […] du patrimoine architectural de la France » ce qui exclut les minarets !

Nicolas Sarkozy l’écrivait dans sa pré­face : cette « véritable politique alternative de l’immigration […] répond aux préoccupations des Français et pourra soustraire enfin ce dossier aux extrêmes qui se le sont accaparé ». Vingt et un ans plus tard, après seize ans de présidence de droite, le discours n’a pas changé. Mais les problèmes – et le FN – demeurent.     Arnaud Folch

 

Commentaire internaute : Par Maxime (non vérifié), le jeudi, 31/03/2011.

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Published by voxpop - dans Islam

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