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9 mars 2011 3 09 /03 /mars /2011 12:19

La loi du 24 juillet 2006, intitulée loi relative à l’immigration et à l’intégration, a pour objectif la maîtrise à la fois quantitative et qualitative des flux migratoires : il s’agirait de"passer d’une immigration subie à une immigration choisie" 

http://www.vie-publique.fr/actualite/dossier/immigration-choisie/immigration-vers-politique-immigration-choisie.html

 

Loi du 24 juillet 2006 relative à l’immigration et à l’intégration

http://www.vie-publique.fr/actualite/panorama/texte-vote/loi-du-24-juillet-2006-relative-immigration-integration.html

 

Loi du 20 novembre 2007 relative à la maîtrise de l’immigration, à l’intégration et à l’asile

Les dispositions de la loi concernent principalement l’immigration familiale :

http://www.vie-publique.fr/actualite/panorama/texte-vote/loi-du-20-novembre-2007-relative-maitrise-immigration-integration-asile.html

 

Immigration : les chiffres 2006-2007

Les données statistiques recueillies pour l’année 2006 et les 3 premiers trimestres 2007 se caractérisent par la poursuite de la diminution de certains flux migratoires notamment en matière d’asile et de regroupement familial.

http://www.vie-publique.fr/politiques-publiques/evaluation/immigration-chiffres-2006-2007.html

 

Un processus d’intégration en crise

contrat accueil et intégration

 

 

 

 

La poursuite depuis plus de 30 ans de politiques visant la maîtrise quantitative de l’immigration a réduit considérablement l’importance de l’immigration économique régulière. Les nouvelles entrées proviennent pour l’essentiel du regroupement familial et de l’application du droit d’asile. Subsiste de plus une immigration irrégulière difficile à mesurer.

 

 

 

 

 

 




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8 mars 2011 2 08 /03 /mars /2011 23:09

2011-la-jeunesse-du-monde-200x300-150x225
Découvrez 2011, la jeunesse du monde, une grande enquête conçue par la Fondation pour l’innovation politique sous la direction de Dominique Reynié et réalisée par le groupe TNS Opinion. Conduite dans 25 paysauprès de 32700 personnes, elle nous éclaire sur les manières de vivre, les opinions et les aspirations des jeunes des cinq continents.

http://www.fondapol.org/wp-content/uploads/2011/01/2011-la-jeunesse-du-monde.pdf

 

Image fondapol

image-fondapol-2.jpg

image-fondapol-3.jpg

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4 mars 2011 5 04 /03 /mars /2011 21:19

Au 1er janvier 2011, la population française franchit pour la première fois 65 millions d'habitants en France métropolitaine et dans les départements d'outre-mer.

 

7,7 MILLIONS DE PERSONNES D’ORIGINE ÉTRANGERE EN MÉTROPOLE

soit 12,25 %


La population d’origine étrangère compterait

5,8 millions de personnes issues du continent africain

soit les trois quarts de l’ensemble.


 

 

Ensemble

Hommes

Femmes

 

Source : Insee, estimations de population (résultats provisoires arrêtés fin 2010).

Population totale

65 026 885

31 484 794

33 542 091

Moins de 20 ans

15 984 060

8 175 810

7 808 250

de 20 à 64 ans

38 146 128

18 794 075

19 352 053

65 ans ou plus

10 896 697

4 514 909

6 381 788

 

L’Immigration en France expliquée par François HERAN ( INED)

http://www.ined.fr/fr/tout_savoir_population/videos/immigration_en_france/ 

 

 

tableau-immigres-0.jpg

tableau-immigres.jpg

tableau-immigres-2.jpg

 

 

 

Source Insee 2007

 

Immigrés

Non immigrés

Ensemble

Actifs ayant un emploi

2 266 403

23 530 522

25 796 925

Chômeurs

542 768

2 634 085

3 176 853

Retraités ou préretraités

988 280

11 916 570

12 904 851

Elèves, étudiants, stagiaires

505 409

12 823 963

13 329 372

Femmes ou hommes au foyer

477 665

1 778 393

2 256 058

Autres inactifs

367 198

3 963 750

4 330 948

Ensemble

5 147 723

56 647 283

61 795 007

 

tableau-immigres-3.jpg

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1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 14:10

 

Le Journal officiel a publié les comptes de SOS Racisme. SOS Racisme a reçu 579 000 euros de subventions publiques en 2009 alors que le montant des adhésions plafonne à 18 669 euros.


sos racisme comptes subventions

Le montant total des dons, adhésions et subventions à SOS Racisme

s’élève à  904 596  euros en 2009.

Les financements publics

  • 348 000 euros du Fonds d’action et de soutien pour l’intégration et la lutte contre les discriminations (FASILD) et de l’ Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances (ACSÉ)
  • 80 000 euros du ministère de l’Éducation nationale
  • 46 000 euros du ministère de la Jeunesse et des Sports
  • 40 000 euros de la Mairie de Paris
  • 35 000 euros du Conseil régional d’Île-de-France
  • 30 000 euros du Conseil du développement de la vie associative (CDVA), géré par le Haut Commissariat à la Jeunesse.

Au total 579 000 euros sont tirés de la poche du contribuable. Soit 64% des recettes de l’ association.

Contre 18 669 euros pour les adhésions qui représentent 2% des recettes.

Ces montants ne tiennent évidemment pas compte des aides publiques allouées aux sections  locales de SOS Racisme …

Les comptes de SOS Racisme (certains frais sont plus que surprenants..)

 

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28 février 2011 1 28 /02 /février /2011 16:44

Régis Soubrouillard - Marianne | Lundi 29 Mars 2010 à 05:01 |

Dans Les yeux grands fermés, la démographe Michèle Tribalat pourfend la bien-pensance de rigueur en matière d'immigration: statistiques, mensongères, refus de considérer le coût de l’immigration, absence des débats. L’auteur s'inquiète de l'aveuglement complice des pouvoirs publics.

 

Le livre aurait pu s’appeler La face cachée de l’immigration. Celle que la France ne veut pas voir sous des prétextes aussi bienveillants que fallacieux. 

« Le modèle français » assimilationniste s’effondre sous nos yeux, et le pays s’interdit les analyses et débats scientifiques qui permettraient de regarder cette France en voie de « désintégration » en face.
 

Directrice de recherche à l’Institut national des études démographiques, et spécialiste de l'immigration, Michèle Tribalat tente de pallier cette lacune. La France ne dispose que des chiffres sur les entrées d’étrangers en provenance de pays n’appartenant pas à l’espace économique européen ou encore le solde migratoire qui indique la différence entre les entrants et les sortants, sans prise en compte de la nationalité.
 

Des statistiques au
 « doigt mouillé » selon la démographe mais surtout des statistiques politiquement convenables  puisqu’elles interdisent toute discussion sur le sujet du coût de l’immigration, le développement des mariages mixtes d’où « une ignorance généralisée et des difficultés à imaginer les politiques efficaces ».
Le syndrome orwellien
 « qui consiste soit à présenter sous un jour favorable des faits qui dérangent, soit à les dissimuler, soit à incriminer le porteur de mauvaises nouvelles ».


Michèle Tribalat donne des chiffres. Par exemple ceux des mariages célébrés à l’étranger qui échappent aux statistiques, et qui ces dernières années ont fortement progressé. Dans 56% des cas, ils aboutissent à une régularisation en France. Elle relativise l’apport des populations immigrées sur la fécondité ou le rajeunissement de la fécondation française. « Le coup de jeune est suspendu à la perpétuation de cette immigration et au fil du temps, les filles d’immigrées se trouvent en position d’avoir des enfants mais pas plus que les autres Françaises ». 

Suit une avalanche de chiffres. En 1999, en France, 14 millions de personnes étaient d’origine étrangère soit un quart de la population pour majorité originaires d’Europe du sud (5,2 millions) contre 3 millions d’origine maghrébine.
En Ile de France, la proportion des populations d’origine étrangère est passée de 16% à 37% entre 1968 et 2005.
A Blois, un tiers des jeunes sont d'origine étrangère, alors qu'ils n'étaient qu'un sur vingt à la fin des années 60 ; à Grigny, dans l'Essonne, 31 % des jeunes sont d'origine subsaharienne, soit trois fois plus qu'en 1990, ce qui constitue le record de France.

Les phénomènes de « concentration » s’additionnent. Ainsi la ségrégation sociale s’ajoute à la ségrégation ethnique. Dans le 18è arrondissement 37% des jeunes sont d’origine maghrébine, subsaharienne ou turque et 62% de leurs voisins sont de même origine. Autant de symptômes du déclin de la mixité que Michèle Tribalat assimile à des
 « stratégies d’évitement ». Un constat, qui impose la nécessité impérieuse de recourir à des données qualitatives : « Elles ont des implications politiques évidentes. Nul doute que les écoles où les petits camarades d’origine française se font rares nécessitent des investissements particuliers ».  

Sur un plan plus politique, Michèle Tribalat tente de démontrer comment les législations européennes, l’idéologie « droitdelhommiste », l’intrusion du pouvoir juridique et les fantasmes de gouvernance mondiale ont -presque- réduit à néant la marge de manœuvre migratoire française.
 « Puisque le migrant est le prototype du monde qui vient, il faut une instance supranationale qui s’ajuste à l’univers mondialisé du migrant ». C’est la soupe experte qu’on nous sert.   
Autre cible, le climat idéologique dans lequel s'élaborent les discours sur l'immigration à partir des sondages sur le racisme commandés par la Commission nationale consultative des droits de l'homme.


L'IMMIGRATION COMME SYMPTÔME D'UNE SOCIÉTÉ EN VOIE DE DÉSINTÉGRATION

Un conte de fée global que rien ne doit venir contester et surtout pas la statistique. Se basant sur des études britanniques, la démographe minimise l’argument selon lequel les immigrés sont indispensables à nos économies car « ils exerceraient les emplois que les natifs ne veulent pas faire ». Dans les années 2000, l’afflux massif d’immigrés en Angleterre n’a pas réduit le nombre d’emplois souffrant de pénuries. Il est resté voisin de 600.000 car l’immigration accroît à la fois la demande et l’offre de travail. La France s’interdit toute étude de ce type.

 

Michèle Tribalat au Monde : «Vérifiez vos chiffres sur l'immigration»

Michèle Tribalat, directrice de recherche à l’Institut national des études démographiques, et spécialiste de l'immigration, a été choquée du traitement sinon manipulateur du moins maladroit des chiffres par Anne Chemin, journaliste du Monde.....

http://www.marianne2.fr/Michele-Tribalat-au-Monde-Verifiez-vos-chiffres-sur-l-immigration_a183057.html?com#comments

 

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27 février 2011 7 27 /02 /février /2011 21:25

Malika Sorel :

“La France s’autodétruit sans rendre service aux immigrés”

 

Ancien ingénieur d’affaires et de recrutement de cadres de PME, aujourd’hui membre du Haut Conseil à l’intégration, Malika Sorel a passé ses dix premières années en France, avant de suivre ses parents en Algérie où elle suit sa scolarité. Après avoir terminé l’école polytechnique d’Alger, elle revient en France, où elle suit le troisième cycle de Sciences po. En 2007, elle publie le Puzzle de l'intégration – les Pièces qui vous manquent (Mille et une nuits). Elle y explique que la question de l’immigration-intégration doit être traitée globalement et non plus de façon sectorielle, qu’il faut cesser d’octroyer la nationalité française à des personnes qui ne sont pas prêtes, psychologiquement et moralement, à l’assumer, et s’appliquer, en revanche, à faire respecter la loi française par tous, sans exception.

 

Un entretien INCONTOURNABLE  !

 

http://www.lespectacledumonde.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=365:dossier571&catid=29:dossier&Itemid=55

 

Un commentaire : La démonstration est tellement logique, claire, irréfutable, qu'on ne peut qu'être consterné par l'attitude de nos élites, et terriblement inquiets quant au futur qu'ils nous préparent.Comme beaucoup j'attends avec impatience que les médias fassent leur travail et vous donnent l'audience que votre vision mérite. Mais j'attends surtout le moment où des responsabilités politiques vous seront enfin confiées. La France a besoin de vous.

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26 février 2011 6 26 /02 /février /2011 23:15

Le poids de la dette publique représente 63,7 % du PIB en 2006. A la fin du troisième trimestre 2010, selon l’INSEE, la dette publique de la France (État, Sécurité sociale et collectivités locales) a légèrement reflué à 1 574,6 milliards d’euros, soit "approximativement" 81,5% du produit intérieur brut (PIB) en raison d’un désendettement des administrations centrales. Le gouvernement prévoit une poursuite de l’augmentation de la dette en 2010 (82,9%), 2011 (86,2%) et en 2012 (87,4%) avant un reflux en 2013 (86,8%) et 2014 (85,3%).

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26 février 2011 6 26 /02 /février /2011 21:14

 

 

Chaque année, l’immigration représente pour les pouvoirs publics

un surcroît de dépenses de 30,4 milliards d’euros.


 L’immigration grève les finances publiques d’un déficit recettes-dépenses correspondant à 1,56% du PIB.

 

 



Les informations qui suivent ont été extraites de la monographie

de Contribuables Associés :

 

Le coût de la politique

migratoire de la France

par Jean-Paul Gourévitch, expert international en sciences humaines,

spécialiste de l’Afrique et des migrations

 

Entretien avec Jean_Paul Gourévitch
http://dai.ly/e4OoMB

 

Le shopping migratoire s’est renforcé grâce à la libre circulation dans l’espace Schengen :

 

Le migrant choisit sa destination 

 en fonction des avantages escomptés et des risques encourus.


La comptabilisation est difficile, voir impossible en France où  selon les sondages la majorité de l’opinion publique serait opposée aux statistiques ethniques.

 

En Suisse, où les statistiques ethniques sont autorisées et où une personne sur 4 est étrangère, l’Office de police a révélé que 80% des détenus sont des immigrés, responsables de 85,5% des viols, et de plus de 50% des assassinats et crimes violents.

 

Au Danemark, selon la police, 70% des crimes et délits seraient commis par des musulmans.

 

7,7 MILLIONS DE PERSONNES D’ORIGINE ÉTRANGERE EN MÉTROPOLE

soit 12,25 %

La population d’origine étrangère compterait

5,8 millions de personnes issues du continent africain

soit les trois quarts de l’ensemble.

 

Chaque année, l’immigration représente pour les pouvoirs publics

un surcroît de dépenses de 30,4 milliards d’euros.

 

Les pays européens peinent à construire une politique commune d’immigration en matière de conditions d’entrée, de séjour et d’accès au marché du travail et aux prestations sociales, de regroupement familial ou d’acquisition de la nationalité.

 

L’immigration devient inéluctablement familiale en ce sens que l’immigrant ne revient plus au pays

et limite les transferts de fonds pour faire venir sa famille sur place et la loger ou l’entretenir décemment.

 

« Nous ne pouvons accueillir toute la misère du monde » proclamait Michel Rocard en janvier 1990. Quand on ferme les portes, les fenêtres s’ouvrent.

 

Le mouvement de migration du Sud vers les États du Nord s’est accéléré du fait d’une pression démographique qui ne se ralentit pas. L’Afrique a quadruplé sa population en un demi-siècle, passant de 273 millions d’habitants en 1960 à un milliard aujourd’hui.

 

 On vient en France pour l’excellence de son système de santé

et parce que le migrant bénéficie d’une protection efficace grâce à la

Couverture médicale universelle (CMU) pour ceux qui sont en situation

légale et à l’Aide médicale d’État (AME) pour ceux qui sont en situation

irrégulière et qui se voient reconnue la qualité « d’étranger malade dont

l’état nécessite des soins qui ne pourraient être fournis dans son pays ».

 

Un coût explosif   :   L’Aide médicale d’État (AME )

Ce dispositif humanitaire créé par Martine Aubry et Bernard Kouchner est

depuis 2000 réservé aux immigrés en situation irrégulière justifiant de 3 mois

de présence sur le territoire français et de ressources déclarées inférieures à

600 euros par mois ainsi qu’à ceux dont l’état nécessite des soins d’urgence.

 

En principe, les soins de maladie et de maternité sont pris en charge à 100 % pour les bénéficiaires de l’AME,

 de même que le forfait hospitalier

 

Le gouvernement Jospin l’avait provisionnée à la hauteur de 45 millions d’euros

par an, méconnaissant l’appel d’air qu’il provoquerait dans une Europe où la France était  officiellement le seul pays à accorder ce privilège.

L’AME concerne aujourd’hui 192 000 personnes pour des dépenses constatées en 2007 de 413 millions d’euros et provisionnées pour 2009 à 490 millions d’euros, soit une augmentation de 10% par an.

 

Pour 2011, ce sont 588 millions d'euros que Bercy a mis de côté pour l'AME. Soit, à peu de chose près, le coût global du bouclier fiscal, qui fait tant couler d'encre.

 

Voir cet article : AME ces vérités qui dérangent

 

http://www.lefigaro.fr/sante/2010/10/09/01004-20101009ARTFIG00003-aide-medicale-d-etat-ces-verites-qui-derangent.php

 

 

L’allocation personnalisée d’autonomie (APA) est l’une des principales prestations sociales financées par les départements, donc par les contribuables.

L’APA  consiste en une allocation versée à des personnes âgées de 60 ans et plus, résidant en France , qui ont perdu leur autonomie et nécessitent des soins, soit en établissement, soit à domicile. Cette allocation est mensuelle et varie actuellement entre 524 et 1224 euros suivant le degré de perte d’autonomie de la personne.

Encore une prestation proposée à tous les étrangers résidant en France !

Il était évident qu’avec des critères d’attribution aussi peu contraignants nous allions droit dans le mur !

Qu’on en juge :

Le nombre de bénéficiaires est passé de 156.000 début 2002 à 865.000 fin 2004

pour atteindre 1.136.000  fin 2009. Le pire est à venir.

Pour 2009, le coût budgété pour l’ensemble des départements

était de 5,25 milliards d’euros.

Chaque fois qu’un département accorde cette prestation à une personne de 60 ans, il s’engage pour au moins 20 ans !

Chacun comprendra pourquoi le financement de cette prestation, si importante pour la prise en charge de la dépendance, pose problème.

Ce paragraphe sur l’APA est hors Monographie

 

 

Rapport fait au nom de la mission commune d'information  sur la prise en charge de la dépendance et la création du cinquième risque,

Par M. Alain VASSELLE, 

Sénateur.

http://www.senat.fr/rap/r07-447-1/r07-447-11.pdf

 

Pour les ressortissants  étrangers arrivant  en France

 

Vous n’avez pas travaillé en France ou vous n’avez pas assez travaillé pour avoir des droits à la retraite

Vous pouvez demander l’allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA)

(en 2008 : 7 537,29 € par an pour une personne seule ; 13 521,27 € par an pour un couple)

si vous réunissez les trois conditions suivantes :

• vos ressources annuelles sont inférieures à un certain montant (en 2007 : 7 635,53 € pour

une personne seule, 13 374,16 € pour un couple marié) ;

• vous avez au moins 65 ans (ou au moins 60 ans si vous êtes inapte au travail) ;

• vous êtes autorisé à résider en France métropolitaine ou dans un département d’outre-mer.

 

Ce paragraphe sur l’ASPA est hors monographie

 

On vient en France pour poursuivre ses études,

étant donné la qualité et la variété du système d’enseignement dispensé, parce que la France

accorde des bourses pour les étudiants étrangers dans ses grandes écoles

et ses troisièmes cycles

 

On vient en France parce que son offre est une des plus attractives

en matière de prestations sociales et de rapprochement familial,

bien que la législation récente en ait restreint le champ. Cette offre

s’étend au secteur des prestations santé, vieillesse et maternité-famille

quasiment identiques pour les autochtones et pour les immigrés, à

celui d’allocations chômage conséquentes ainsi qu’aux prestations logement-

pauvreté-exclusion : allocations logement, RMI-RSA, aides des

associations, des organismes humanitaires et des collectivités locales.

 

 On vient en France parce que ce pays autorise l’acquisition de la nationalité française par mariage avec un résident français et pour les enfants nés sur le sol français.

La comparaison avec les pays voisins - Allemagne, Italie, Grande-Bretagne, Suisse –

 est sans appel. Le nombre de naturalisations demandées et accordées (150 000 en moyenne par an) démontre la validité de ce motif.

 

On vient en France quand on est demandeur d’asile

parce que la France reste pour beaucoup le pays des droits de l’homme et que, en

cas de rejet de la demande, on peut espérer au bout d’un certain temps

être régularisé. Même si la réponse est majoritairement négative (le taux

cumulé des accords de l’OFPRA et des réadmissions par la CNDA21

tourne autour de 30%), le délai d’attente permet au débouté de rester

en France.

123 000 réfugiés bénéficient de la carte de 10 ans et des droits sociaux.

 10 793 réfugiés politiques ont obtenu la protection de la France en 2009. 2ème destination au monde,

1ère en Europe, la France dispose de 20 689 places en centres d’accueil pour les demandeurs d’asile.

La France est et restera la première terre d’asile d’Europe. C’est le message d’Eric Besson dans une

 interview donnée à Direct Matin Plus le 13 avril 2010.

 La France consacre à la demande d’asile plus de 318 millions d’euros pour 2010,

soit une croissance de plus de 10 %. Cette somme dépasse désormais la moitié du budget du ministère

de l’Immigration.


 On vient en France parce que les reconduites, notamment en Afrique, ont peu de chance d’être effectuées.

S’y opposent un mouvement associatif puissant .

 

On vient en France parce qu’on peut bénéficier dans certaines conditions de retours aidés et parfois revenir ensuite clandestinement dans la métropole.

 

L’aide au retour

Devant les difficultés d’exécution des reconduites, la France privilégie aujourd’hui

l’aide au retour volontaire. L’incitation financière au retour était autrefois peu

attractive. Les barèmes d’aide ont été revus à la hausse le 1er janvier 2009 : prise

en charge de l’acheminement des étrangers vers leur pays d’origine, versement

d’une cagnotte de 3 500 euros pour un couple, 2 000 euros pour un adulte

seul, 1 000 euros par enfant mineur jusqu’au troisième enfant et 500 euros pour

chacun des enfants suivants. Les ressortissants ayant un projet d’entreprise

peuvent également percevoir 7 000 euros pour le démarrage de leur activité.

 

 

LES DÉPENSES DE L’IMMIGRATION : 79,4 MILL IARDS D’EUROS

 

On étudiera successivement les dépenses suivantes :

• Les coûts générés par les prestations sociales versées (coûts sociaux) ;

• Les coûts relevant de la lutte contre l’économie informelle et la fraude

(coûts sociétaux et fiscaux) ;

• Les coûts relevant du maintien de l’ordre, de la protection des biens et

des personnes et du contrôle des frontières (coûts sécuritaires) ;

• Les coûts générés par l’accueil des étudiants étrangers (coûts éducatifs).

 

Les résultats globaux figurent dans le tableau ci-dessous en milliards d’euros.

 

Nature des dépenses                         Montant des dépenses

 

Coûts sociaux (*)                                                       58,64

Coûts sociétaux et fiscaux                                         13,65

Coûts sécuritaires dt budget Ministère                     5,24

Coûts éducatifs                                                          1,87

 

TOTAL DES DÉPENSES                                 79,4 milliards d’euros

 

 

(*) le budget de la protection sociale représente à lui seul près des trois quarts de ce montant.

 

Au total les coûts de la protection sociale seraient :

 

 

Nature de la dépense                                    Dépenses en Milliards d’euros

 

Emploi-réinsertion                                                                 5,23

Sante-invalidité-accidents du travail                                     23,1

Vieillesse-survie                                                                    20,95

Famille-maternité                                                                  5,90

Pauvreté exclusion                                                                3,46

 

TOTAL                                                                                   58,64

 

 

Du fait des règles fixées par la CNIL, on ignore le nombre exact d’immigrés

qui touchent une retraite en France ou à qui elle est versée à l’étranger

 

Les coûts de la protection sociale liée à l’immigration se sont accrus de 13% depuis 2008.

 

Le déficit des comptes sociaux tournerait autour de 24 milliards d’euros en 2009 et on prévoit 30 milliards d’euros en 2010.

 

 

 

 

CHIFFRAGE  DES RECETTES :

 

LES RECETTES DE L’IMMIGRATION : 49 MILLIARDS D’EUROS

 

La balance dépenses–recettes :

 

Le différentiel dû à l’immigration est de 79,4 – 49 = 30,4 milliards d’euros

 

Chaque année, l’immigration représente pour les pouvoirs publics

un surcroît de dépenses de 30,4 milliards d’euros.

 

L’immigration grève les finances publiques d’un déficit recettes-dépenses

Correspondant à 1,56% du PIB.

 

Somme à laquelle il faut ajouter les investissements consentis par l’État pour freiner l’immigration en provenance des pays du Sud, améliorer l’accueil et la situation

des migrants qui s’installent en France et construire une meilleure égalité

des chances pour leurs enfants. Au total près de 10 milliards d’euros

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J'ai plus envie de me croire à Kaboul dans ma ville,

J'ai plus envie de l'incivisme, plus envie de la médiocrité comme religion, plus envie du manque d'ambition comme profession de foi.

J'ai plus envie de relativiser. >>>>