«Si demain on devait faire en sorte que la loi sur l’immigration soit construite par une convention citoyenne, il faudra le dénoncer avec force», a-t-il fait valoir. «Si le président de la République a le sentiment que le Parlement n’a pas assez de force pour trancher lui-même cette question de l’immigration, qu’il recoure au référendum», a-t-il encore lancé,

Qualifiant l’immigration de «sujet majeur»

Jusqu'où ??

Chère adhérente, Cher adhérent,

Comme chaque semaine, je vous adresse notre nouvelle note électorale.

Cette semaine, nous vous présentons :

• un texte récapitulatif de la grande convention électorale du samedi 15 avril dernier organisée par toute notre équipe,
• un sondage italien très encourageant pour Giorgia Meloni,
• et nous analyserons la commune de La Baule-Escoublac située en Loire-Atlantique.

Découvrez cette septième note en cliquant ici ou sur le bouton ci-dessous :

Merci encore pour vos nombreux retours concernant la note précédente.

Continuez à nous envoyer vos remarques et interrogations à guillaume.peltier@parti-reconquete.fr.

Et à la semaine prochaine !

Guillaume Peltier
Vice-président de Reconquête
Conseiller départemental de Chambord
Ancien député de Loir-et-Cher

La France ressemble à un enclos dans lequel des chevaux de trait dociles, tenus au bout d’une longe, parfois avec des œillères, tournent en rond docilement. Gare à eux s’ils tentent une incartade, on leur tape aussitôt sur le nez et, dressés, ils rentrent aussi sec dans le rang. On a fini par les mépriser à force de les maîtriser. Tout autour, à l’extérieur, s’égayent dans les champs des poneys sauvages, venus des banlieues et de l’ultra-gauche, que l’on n’a jamais débourrés et que, pour cela, on admire et on craint, sans trop les approcher car un coup de sabot est vite arrivé. Tout est permis, et on trouve même un charme romantique, façon Michel Déon, à « ces poneys aux longs poils humides, brillants comme de la soie » qui « broutent l’herbe éclatante de la rosée ». Sauf que - comment dire ? - les chevaux de trait commencent à en avoir sérieusement leur claque d’entretenir de leurs impôts lesdits charmants canassons et de morfler à leur place quand ceux-ci gambadent en toute impunité.